CONCERT "COULEURS D’ARMENIE"
Ara GEVORGIAN
Le 29 octobre 2006 restera un merveilleux souvenir dans la mémoire du nombreux public qui s’était déplacé au Dôme de Marseille pour le spectacle qui donnait le coup d’envoi à Marseille d’Arménie mon amie - Année de l’Arménie en France.
Le 29 octobre 2006 restera un merveilleux souvenir dans la mémoire du nombreux public qui s’était déplacé au Dôme de Marseille pour le spectacle qui donnait le coup d’envoi à Marseille d’Arménie mon amie - Année de l’Arménie en France.
A l’initiative de la section "Jeune" de la Maison Arménienne de la Jeunesse et de la Culture (M.A.J.C.) et de la Croix Bleue des Arméniens de France (C.B.A.F.) Région Marseille qui avaient choisi d’inviter pour l’occasion Ara Gevorgian et ses musiciens venus d’Arménie. Ce fut un spectacle inoubliable. Ils étaient accompagnés par l’Orchestre Philharmonique de Marseille dirigé par le talentueux chef Karen Durgaryan.
Tandis que les musiciens interprétaient des airs traditionnels dans un style revisité moderne et rythmé, mais parfois aussi classique, la remarquable Troupe de Danse ANI dirigée par leur chef et chorégraphe Lilith Kniasian a ajouté au charme du spectacle.
On ne savait ce qu’il fallait admirer le plus : les airs traditionnels revus, les danses, les costumes modernes ou classiques étaient époustouflants, ou le montage du spectacle avec des fonds de scène illustrés par les vues des sites et des villes qui ont tant bercé nos mémoires : Ani, Erevan, Mouch, Van, Sardarabad, Kars, … voyage plein d’émotion avec Adana, dirigé par le compositeur et chef Henrik Anassian, dédié aux victimes du génocide, auquel la soprano Naïra Aprahamian a aussi contribué par le timbre sensible de sa voix.
Ce fut un spectable merveilleux et s’il faut saluer le talent d’Ara Gevorgian et de ses musiciens (n’oublions pas le doudouk de Lévon Minassian) ainsi que de l’Orchestre Philharmonique de Marseille. Il faut aussi souligner le travail des anonymes bénévoles qui ont oeuvre pour qu’il soit une réussite.
Prestation inoubliable aussi pour Ara Gevorgian et de ses musiciens, heureux d’être à Marseille, très impressionnés et touchés par l’accueil et le succès qui leur ont réservés… Et qui n’ont d’une envie revenir à Marseille… Et nous de les revoir.
Tandis que les musiciens interprétaient des airs traditionnels dans un style revisité moderne et rythmé, mais parfois aussi classique, la remarquable Troupe de Danse ANI dirigée par leur chef et chorégraphe Lilith Kniasian a ajouté au charme du spectacle.
On ne savait ce qu’il fallait admirer le plus : les airs traditionnels revus, les danses, les costumes modernes ou classiques étaient époustouflants, ou le montage du spectacle avec des fonds de scène illustrés par les vues des sites et des villes qui ont tant bercé nos mémoires : Ani, Erevan, Mouch, Van, Sardarabad, Kars, … voyage plein d’émotion avec Adana, dirigé par le compositeur et chef Henrik Anassian, dédié aux victimes du génocide, auquel la soprano Naïra Aprahamian a aussi contribué par le timbre sensible de sa voix.
Ce fut un spectable merveilleux et s’il faut saluer le talent d’Ara Gevorgian et de ses musiciens (n’oublions pas le doudouk de Lévon Minassian) ainsi que de l’Orchestre Philharmonique de Marseille. Il faut aussi souligner le travail des anonymes bénévoles qui ont oeuvre pour qu’il soit une réussite.
Prestation inoubliable aussi pour Ara Gevorgian et de ses musiciens, heureux d’être à Marseille, très impressionnés et touchés par l’accueil et le succès qui leur ont réservés… Et qui n’ont d’une envie revenir à Marseille… Et nous de les revoir.